Voici une description du groupe de joueur (et personnage non joueurs) qui compose l'ordre du phenix
l’ordre du Phénix
Ille lux eventum um exello
(la lumière vient de la perfection)
L’ordre à été fondé pour retrouver les trois armes de Talor et le bâton d’Arinsor pour empêcher la prophétie du parchemin de Kirmon de ce réaliser.
En substance elle donne ceci :
Quand l’homme sans nom parcourra les terres et que le Grand loup hurlera devant les portes de Sog, alors les trois armes de Talor devront être retrouver ou malheur a l’humanité car le bâton d’Arinzor pourra ouvrir la porte de Banir.
Le Chevalier Urial, sur les conseils de l’abbé Malkor, alla voir les Barons et le Duc de Moraine pour que ce dernier parle au roi de l’idée de la création d’un ordre spécialisé dans la recherche des armes de Talor qui pourront, aux yeux de la prophétie empêcher l’ouverture de la porte de Banir.
Pour Urial, la fin ne justifie pas les moyens et en cela l’exemple qu’il veut donner en créant cet ordre doit correspondre aux sept vertus chevaleresques de Hrestol son saint patron.
La seule commanderie de l’ordre a ce jour se trouve à Sog, toujours en travaux, elle n’a encore pas pu recevoir de grande messe.
Il y a peu de membres au sein de l’ordre du Phénix, la qualité primant sur la quantité.
La mission principale de l’ordre et de rechercher et d’accumuler le plus d’informations concernant la prophétie pour empêcher son accomplissement.
La plupart des membres, s’en vont de Sog, pour vérifier les moindres informations glaner sur le bâton d’Arinsor ou les trois armes de Talor.
Pour Urial, parcourir Fronela rapproche les chevaliers de l’ordre de l’errance préconisé par Hrestol, bien que chaque membre de l’ordre ne peut partir seul, (sauf cas d’extrême urgence, les chevaliers entame leur quête soit à trois, soit à sept.) Sa quête se fait aussi dans l’introspection.
L’ordre a aussi pour vocation de suivre les pas de Hrestol, de suivre ses commandements concernant la chevalerie et transcendé les vertus pour amener le chevalier a la perfection. C’est un travail intérieur difficile et peu arrive à intégrer les sept vertus de la chevalerie dans leur globalité.
La vocation de l’ordre du phénix est spirituelle, le chevalier ne peut pas trahir son code, car s’il le faisait alors sa quête n’aurais plus de sens, sauvé un monde sans vertu reviendrais à laisser gagné le mal.
Urial, a Identifier l’ennemi de l’ordre, Gbadji, nommé le menteur, un dieu du Chaos perfide. Pour le Grand maître l’empire Lunar est l’empire du menteur. Les membres de l’ordre savent qu’il existe un ordre du royaume de la guerre qui a pour but de réaliser la prophétie du parchemin de Kirmon .
Les faits lui donne raison, en effet les Lunar recherche activement le bâton d’Arinsor, qui permettra d’ouvrir le dernier grand ban des syndics, Charg et permettra au Lunar d’entrer en force dans Fronela, pour l’instant, les fidèles de Gbadji ne peuvent venir qu’en petit nombre par Bateau lune, ce qui limite leur rayon d’action au sein de Fronela.
Urial est un Perfecti, une secte déviante des Idéalistes Hrestoli, bien que cela ne soit pas de notoriété publique. En effet, Urial pense que les Hrestoli de Loskalm ont oublié l’essentielle des enseignement de Hrestol, se complaisant dans le système égalitaire qu’ils ont créer sans voir qu’il ne font qu’appliquer les enseignement physique de Hrestol, sans en appliqué l’aspect spirituel. Urial a été profondément chagriné de voir le manque d’humilité de la plupart des chevaliers de Loskalm, ne se remettant jamais en question, n’appliquant jamais le credo de Hrestol, l’errance, qui permet au chevalier de voir la misère du monde et de donné de lui-même de façon désintéressée a toutes les populations de Fronela, voir de Genertela.
L’idéal d’Urial serait de mettre en place, pour tous les chevaliers de Loskalm une errance d’un an, pour que chaque chevalier revienne « éclairé » sur la misère du monde qui entoure leur nation et puise dans se savoir pour s’amélioré et amélioré la condition de tous les peuples du monde.
Quand cela sera en place alors l’ordre du phénix n’aura plus lieu d’être ou peut être en tant qu’asile dans les pays que traversera les chevaliers en errance.
Quand Fronela verra des centaines de chevalier en errance sur ses routes, aidant les gens, protégeant les pauvres et les opprimés, soignant les malades, donnant son dernier denier pour nourrir une famille païenne, alors la voie de Hrestol sera rétablie et le monde rayonnera d’amour et de joie, ainsi tous les peuples comprendront d’eux même, qu’il n’y a qu’un seul dieu. La force ou la prêche empêche l’incroyant de voir la vérité du Dieu invisible, car seul l’amour de son prochain et les actes désintéressés des chevaliers Hrestoli, peuvent amener un homme a comprendre qu’il se fourvoie en croyant à un esprit, même puissant comme Orlanth.
En tant que Perfecti, Urial pense que tous, du paysans au noble seigneur se doit d’entreprendre ce pèlerinage, l’errance que leur prophète effectua pour trouver la sagesse. Chacun est un chevalier en son cœur, les vertus du chevalier son universel et doivent être suivie par tous, nul besoin de savoir combattre pour être un chevalier de cœur.
Un paysan Loskalmi peut, sans combattre apporter son aide au paysan d’Oranor en venant leurs apprendre les techniques d’ensemencement et d’irrigation, qu’il a appris pendant son apprentissage, un artisan pourrait travailler dans un village de Porent pour montrer au gens a fabriquer des couvertures imperméables ou des poteries plus résistante, grâce au technique plus évoluer de la Loskalm.
Urial pense à proposer, quand les temps seront moins troubler, au roi Kundreken, que chaque jeune Loskalmi en à la fin de leurs apprentissage dans l’une des castes suivent un chevalier pendant un an au sein de Fronela pour apporté son aide aux défavorisés. Les laïcs de l’ordre pourront comme cela aidé les pauvres et les moins favoriser des peuples pour qu’ils puissent évoluer par l’amour de leur prochain qu’auront alors les Loskalmi.
Car Urial eu une révélation, il vit sept chevaliers symbolisant chacun l’une des sept vertus.
Sept vertus pour sept chevaliers, qui apporteront la paix en Fronela.
Voici les sept vertus de la Chevalerie Hrestoli :
Foi
Compassion
Vaillance
Justice
Loyauté
Courtoisie
Honneur
Aucune de ses vertus n’est au-dessus ou au-dessous d’une autre, elles forment un tout, elles doivent être toutes respecter pour pouvoir former les plus preux des Chevaliers.
Chaque vertu est associer à un surnom :
Chaque Chevalier a son ordination se devra de choisir une vertu qu’il incarnera tout au long de sa vie, en temps de problème.
Pour la foi, le maître incarnant cette vertu se nommera le Pieu associé à saint Malkion
Pour la Compassion le maître incarnant cette vertu se nommera le Bon associé à sainte Xemela
Pour la Vaillance le maître incarnant cette vertu se nommera le Téméraire associé à Saint Gerlant
Pour la Justice le maître incarnant cette vertu se nommera le Juste associé à Saint Talor
Pour la Loyauté le maître incarnant cette vertu se nommera le Fidèle associé à Saint Carpattia
Pour la Courtoisie le maître incarnant cette vertu se nommera Le Bel associé a Saint Yngar
Pour L’honneur le maître incarnant cette vertu se nommera le Preux associé à Saint Horal
Pour le Grand maître de l’ordre, le maître incarnant cette vertu se nommera le Guide associé à Saint Hrestol
Ces Vertus ne peuvent être en leurs globalités comprise par les masses, c’est pourquoi un chevalier a un code de conduite, qui l’emmènera à la compréhension intuitive de ses vertus cardinal.
Mais ce code n’est pas rigide et ses pourquoi les textes qui le compose sont le plus souvent obscur pour que la lumière jaillissent de leurs compréhensions.
L’errance est pour le chevalier de l’ordre, une quête spirituel et une physique, les premiers membres, étant parti pour retrouver les armes de Talor, l’errance permet au chevalier de devenir un « monastère » et de montrez par-là l’exemple du chevalier Hrestol aux yeux du monde.
Voici quelques exemple des textes figurant comme étant le code :
Le credo Les trois voies de rencontres :
« Trois voies s’offre à la réalisation de tes rencontres chevalier. Car il n’est que trois possibilité de rencontres sur Glorantha, l’une et de se mettre au diapason d’autrui, a la place d’autrui. L’autre et de vouloir amener autrui a sa propre vue. Devoir fallacieux, étant donner ta contre nature car qui veut se mettre à la place d’autrui et souvent obliger de biaisez avec la vérité qu’il ressent en lui, et pour cela Hretsol te dit « mieux vaut ta propre loi d’action même imparfaite, que la loi d’action d’autrui même bien appliquer. » Dangereuse aussi est la deuxième voie : car est-tu sur de la justesse de tes vues quand tu veux y convier autrui ? Car la justesse peut aveugler celui qui n’est pas prêt a la recevoir ; est croyant faire un voyant, tu fera un aveugle de plus, traumatiser à la lumière que tu as tenté d’exprimé. Il n’est alors de salut que dans la troisième voie : de l’amour. Est tu sais que Hrestol a dit : Soyez ce que vous êtes, c’est cela l’amour. Etre ne voulant pas dire chercher à être, ne signifiant pas non plus vouloir changer le cour des choses. Prend comme image chevalier, la rivière et la soleil qui serve la nature tout entière sans vouloir la servir.*
* L’asservir
« Le chevalier errant à code d’honneur et se code d’honneur est de se maintenir partout en chevalier errant. La difficulté de cet art se découvre dans l’équilibre a trouver et a maintenir entre rectitude et souplesse . La rectitude conserve la chevalerie et les lois des structures de Hrestol . La souplesse est adaptation aux lois de la Loi et aux facettes de la chevalerie, pour cela, s’avère t il nécessaire en un premier temps de suivre le Rituel et d’espacer sa pratique de repos en la chapelle de son cœur. Doublé le Rituel et doublé le Repos. Le premier et dans le maintien de l’épée et dans le maniement de l ‘épée. Le second et dans l’oraison et dans la méditation. Trouve tes chapelles en chaque point du chemin, fait briller ton épée.
Exerce-toi en temps de paix au maniement de l’arme. Et psalmodie aussi tes textes sacrée. Ainsi passeras-tu dans l’art du chevalier, dépassant alors l’errance pour dépasser un jour le chevalier. Et de là, la lumière céleste te donnera la voie/voix. »
Le Téméraire : « Tu est d’une humeur de guerrier, mais tu n’a pas encore incarné les qualités du guerrier, car tu est belliqueux et non point seulement combatif… Le Guerrier connais l’art de la guerre, mais l’évite par le grand art de la défense naturelle de son territoire. Hors pour protéger son territoire, il faut véritablement en être le maître, afin que tes vassaux le respectent. Médite sur ses mots clefs donner-la. »
Le Bon : « Il n’est de salut devant le beau, devant le laid, devant l’agréable ou le déplaisant, souvient toi : L’oasis à palmier qu’aujourd’hui t’a donnée un instant pour la tache à vivre et à accomplir est ton cadre de vie, ton intime pensée. Tache de décrypter, elle t’y convie. Sache l’aimer comme source de toi-même et sache en donner un peu d’essence par la substance à tous tes frères sur le chemin rencontrés.
Sache t’aimer, sache te conserver dans la joie qu’il t’est possible d’obtenir sur cette terre de détresse . Sache t’écouter plutôt que d’écouter la voix des tortionnaires de ton âme.
Ainsi, de place en place, de pensée en pensée, tu acheminera vers le ressentir intérieur de ton âme. Car il est une nécessité pour ta santé physique et mental qui est de ne pas créer d’obstacle au flux divin qui essaye de pénétrer en toi et de s’exclamer en (par) toi.»